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Pièces en OR : Tout ce qu’il faut savoir .

En vue de diversifier et de protéger son épargne, investir dans les pièces d’or constitue un choix fiable et pertinent. Contrairement aux idées reçues, les pièces en or ne sont pas uniquement réservées aux connaisseurs. Elles représentent un excellent moyen de sécuriser le patrimoine.

Les pièces en or : un investissement à moindre risque

Quel que soit le type de projet de l’investisseur, achat ou revente de pièces en or, celles-ci sont aujourd’hui considérées comme étant un meilleur moyen de placer son argent. Devenues très courantes, ces jolies pièces représentent la forme de transaction en métal jaune la plus échangée par les détenteurs de capitaux à travers le monde. Collectionneur passionné ou investisseur invétéré ne doit pas ignorer la valeur inestimable des pièces en or conservées.

Par ailleurs, le plan épargne or constitue une excellente alternative aux autres placements tels que les Assurances-vie, la Bourse, l’immobilier… dont les taux de rendement sont en baisse. Miser dans l’or assure également une sécurité face aux crises économiques et aux krachs boursiers. En effet, les épargnants avertis choisissent cette option afin de limiter les pertes des autres placements susmentionnés. Contrairement à un livret bancaire ou une assurance-vie, l’or est à portée de main, car il est détenu par son propriétaire chez lui, tandis que les deux autres reposent entre les mains des tiers.

L’intérêt de choisir des pièces en or à fort potentiel de hausse

L’intérêt de choisir des pièces en or

Il est plus prudent de choisir les pièces en or dotées d’un bon potentiel de hausse. Autrement dit, il est préférable d’opter pour des pièces avec un différentiel de prime élevé, ou avec une bonne marge de progression en période d’instabilité politique. Le 10 francs Napoléon en est un exemple concret. En effet, la prime de fond est régulièrement comprise entre 5 et 15%, mais cela a atteint 80 à 100% durant la crise en 2008.

Pour la petite histoire, la crise des subprimes a éclaté en septembre 2008. Les individus pouvaient alors revendre les Napoléon 10 francs au double de la valeur de l’or qu’ils valaient. Ce qui est tout à fait impossible dans le cas d’un lingot ou d’un lingotin, car ils vont strictement suivre le cours de l’or international. Pour faire deux coups d’une pierre, les pièces de collection offrent également une autre possibilité d’investissement intéressant.

Pourquoi privilégier les pièces en or aux lingots d’or ?

Avant de se lancer dans un tel projet d’investissement, il convient de bien réfléchir, car une telle décision ne se prend pas à la légère. Bien sûr, il n’y a pas de réponse exacte face à cette problématique. Toutefois, pour être fixé, il importe de prendre en compte un certain nombre d’indicateurs, dont les primes sur produits, le lieu de stockage, etc. Les primes représentent les coûts ajoutés au prix du marché qui englobe les coûts de production et les autres activités telles que l’emballage, la manutention, etc.

Étant donné qu’il est impossible d’acheter de l’or au prix du marché, les commerçants eux-mêmes achètent des lingots au-dessus du prix du marché au fournisseur. Ceci dit, les lingots sont moins primés que les pièces, et donc, plus le marchand achète un lingot de grosse taille, moins la prime est élevée. Bien que le coût des lingots d’or offre la meilleure valeur, cette option est moins avantageuse par rapport aux pièces en or. C’est pourquoi, la plupart de ceux qui investissent dans l’or le font dans le souci de bénéficier d’un retour d’investissement.

Comment fonctionne la revente de ces produits en or ?

Pour réaliser une plus-value, il est tout à fait envisageable de revendre ses produits en or à condition qu’ils soient de bonne qualité et aux meilleurs prix. Ce que dit la fiscalité est différent en fonction des produits lors de leur revente. Par exemple, il est possible de revendre les pièces démonétisées comme le Napoléon, en payant une taxe forfaitaire fixe sur le prix de revente, ou une taxe sur les plus-values. Ces taxes sont collectées par l’expert engagé par l’investisseur pour la revente de ses pièces. Toutefois, si le concerné souhaite revendre ses produits hors de l’Union européenne, une imposition de plus de 30% sera appliquée à son encontre.